FROYENNES 2013

Aujourd'hui, nous rencontrons, 

pour la première fois,

notre nouvelle animatrice ff.

Elle se prénomme: Stéphanie.

Nous avions rendez-vous sur le parking du resto "chez Léon".

 Avec notre "consoeur" Chantal, nous rejoignons Stépanie.
Elle est symphatique et s'intègre immédiatement à notre groupe.

La journée débute tristement sous la pluie.

Heureusement, dès la mise en marche du groupe, nous 
pouvons ranger nos parapluies.
Une centaine de mètres plus loin, nous nous sommes arrêtés au croisement de la rue de Courtrai et de l'Allée de la Liberté.   

           Et Chantal nous raconte ceci ...

... C'est dans ce quartier que Louise de Bettignies (1880-1918) fut arrêtée le 20/10/1915 par les allemands. Louise résistante et espionne portait le nom de code d'Alice Dubois.
Trilingue, anglais (études à Oxford), italien (préceptrice chez les Visconti) et allemand (préceptrice chez la Princesse Elvira de Bavière en Autriche).


Nous poursuivons notre promenade par un petit sentier ...














... pour rejoindre La Ragotière.

Construction de 1686 par le chanoine (religieux ou laïc?) Vincent Ragot.

Il la vend ainsi que ses dépendances en 1699.



 






Bâtisse de style Louis XIV a été amputée de 2 travées lors de la réfection de la rue Masquelier en 1976. Rénovée par le Comte Antoine de Germiny en 1990.





Nous nous dirigeons ensuite aux abords du Château de Beauregard (fin du XVe s)









Le domaine changea souvent de mains.

Le manoir a été dévasté par les guerres. Il fut rasé et on reconstruisit un nouveau château de style néoclassique en 1795, il comportait 2 étages. En 1841, on lui ajouta un étage.
En 1860, la petite fille du Chevalier, Henriette, se marie avec le Comte Léon Le Bègue de Germiny, bisaïeul des actuels proprios.
 Sautons l'une ou l'autre étape pour en arriver au Moulin à eau.  

Un moulin existait déjà à cet emplacement en 1236.
Détruit en 1649, reconstruit en 1682 …et enfin restauré en 1967 pour lui redonner son aspect premier.



A noter, un moulin à vent (!) gravé sur la porte d’entrée.






















L'endroit ne manque pas de charme et
pour cette raison,  il convient pour  réalisé
de magnifiques photos de mariage.
                      
                Exemple cette photo sépia ci-contre.



Les environs immédiats font le bonheur des amateurs du cliché inédit.

 

 A chaque instant, nous sommes épiés, ou, tout bonnement, accompagnés par quelques "indigènes".

 
 













Nous poursuivons notre "excursion" en contournant l'espace laissé par le château seigneurial dont il subsiste certains éléments comme les tours d'angle.

 






















Nous cheminons vers de la "Fontaine St Eloi".



















Elle était réputée pour son eau: remède aux inflammations de l’estomac et des intestins.
Jusqu’en 1950, les gens du coin venaient s’y approvisionner en eau et y laver leurs légumes.

 













Au XIX s. on édifia des arcades en pierres brutes puis on érigea une espèce de portique en briques et pierres avec en son centre un bassin circulaire.


Terminons, notre matinée, en passant aux abords de l’église St Eloi.

Au VIIIe s, une modeste chapelle.
Au XIIe s, à sa place, une église romano gothique.
Trop petite, elle fut démolie et remplacée par l’actuelle en 1840.C’est la plus ancienne église néo-gothique encore existante dans le Hainaut.




Le bas du mur est "décoré" d'anciennes stèles!

Il est midi et ... Léon nous attend.

Ambiance sympatique!... Mais, les frites industrielles étaient beaucoup trop grasses!

 

 

 

L'après-midi  nous nous sommes retrouvés pour une visite guidée du centre de la marionnette.
Cette importante collection de marionnettes provient de nombreux pays.

Ci-dessous, un pèle mêle de cet "univers" tournaisien de la marionnette.

 

 



Je vous ai vu !!!



Gong final

 "As'teur tertous à vos masons!"